version gratuite ou payante, certains modules étant alors accessibles après un
achat unique, éventuellement reconduit en cas de mise à jour de nouvelles
fonctionnalités. Up’Ostéo ne nécessite pas d’abonnement ni de licence
d’utilisation. De fait, l’éditeur décline toute responsabilité vis-à-vis de
l’objet, des circonstances et des modalités de son utilisation, quelle que soit
la version téléchargée.
Glossaire
L’ostéopathie est une pratique dite de
première ligne c’est pourquoi Ostéobio incite ses étudiants à acquérir certains
réflexes éthiques, comme :
- réfléchir en premier lieu à ce qu’ils peuvent faire pour les
personnes qui les consultent, - se demander si l’ostéopathie est bien indiquée, même en l’absence
de contre-indication, - envisager avec la personne qui consulte la possibilité d’une autre
pratique ou discipline thérapeutique (médicale ou paramédicale), - s’assurer du respect du droit des personnes prises en charge,
notamment la délivrance d’une information de qualité et l’obtention du
consentement de la personne quant aux modalités d’intervention et de prise en
charge.
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
- la (re)découverte succincte de l’anatomie des appareils
locomoteur, viscéral et crânio-facial - la compréhension de la biomécanique fonctionnelle du corps humain
- des rappels sur les grands troubles fonctionnels de chaque système
et les modalités de prise en charge ostéopathique - des vidéos présentant les actes thérapeutiques manuels
recommandés, sur la base d’éléments observables et reproductibles - des outils permettant de générer des fiches patients et de
collecter des données cliniques dans le respect des dispositions relatives au
RGPD
L’appli Up’Ostéo est disponible en
version gratuite ou payante, certains modules étant alors accessibles après un
achat unique, éventuellement reconduit en cas de mise à jour de nouvelles
fonctionnalités. Up’Ostéo ne nécessite pas d’abonnement ni de licence
d’utilisation. De fait, l’éditeur décline toute responsabilité vis-à-vis de
l’objet, des circonstances et des modalités de son utilisation, quelle que soit
la version téléchargée.
Glossaire
L’ostéopathie est une pratique dite de
première ligne c’est pourquoi Ostéobio incite ses étudiants à acquérir certains
réflexes éthiques, comme :
- réfléchir en premier lieu à ce qu’ils peuvent faire pour les
personnes qui les consultent, - se demander si l’ostéopathie est bien indiquée, même en l’absence
de contre-indication, - envisager avec la personne qui consulte la possibilité d’une autre
pratique ou discipline thérapeutique (médicale ou paramédicale), - s’assurer du respect du droit des personnes prises en charge,
notamment la délivrance d’une information de qualité et l’obtention du
consentement de la personne quant aux modalités d’intervention et de prise en
charge.
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
Au détour de son utilisation,plusieurs fonctionnalités seront accessibles telles que :
- la (re)découverte succincte de l’anatomie des appareils
locomoteur, viscéral et crânio-facial - la compréhension de la biomécanique fonctionnelle du corps humain
- des rappels sur les grands troubles fonctionnels de chaque système
et les modalités de prise en charge ostéopathique - des vidéos présentant les actes thérapeutiques manuels
recommandés, sur la base d’éléments observables et reproductibles - des outils permettant de générer des fiches patients et de
collecter des données cliniques dans le respect des dispositions relatives au
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personnes qui les consultent, - se demander si l’ostéopathie est bien indiquée, même en l’absence
de contre-indication, - envisager avec la personne qui consulte la possibilité d’une autre
pratique ou discipline thérapeutique (médicale ou paramédicale), - s’assurer du respect du droit des personnes prises en charge,
notamment la délivrance d’une information de qualité et l’obtention du
consentement de la personne quant aux modalités d’intervention et de prise en
charge.
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
Up’Ostéo n’est pas un dispositifd’aide à la décision thérapeutique, mais se présente comme un outil de révision
ou de découverte d’une pratique qui se veut rationnelle et intégrable à l’offre
de soins.
Au détour de son utilisation,
plusieurs fonctionnalités seront accessibles telles que :
- la (re)découverte succincte de l’anatomie des appareils
locomoteur, viscéral et crânio-facial - la compréhension de la biomécanique fonctionnelle du corps humain
- des rappels sur les grands troubles fonctionnels de chaque système
et les modalités de prise en charge ostéopathique - des vidéos présentant les actes thérapeutiques manuels
recommandés, sur la base d’éléments observables et reproductibles - des outils permettant de générer des fiches patients et de
collecter des données cliniques dans le respect des dispositions relatives au
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L’ostéopathie est une pratique dite de
première ligne c’est pourquoi Ostéobio incite ses étudiants à acquérir certains
réflexes éthiques, comme :
- réfléchir en premier lieu à ce qu’ils peuvent faire pour les
personnes qui les consultent, - se demander si l’ostéopathie est bien indiquée, même en l’absence
de contre-indication, - envisager avec la personne qui consulte la possibilité d’une autre
pratique ou discipline thérapeutique (médicale ou paramédicale), - s’assurer du respect du droit des personnes prises en charge,
notamment la délivrance d’une information de qualité et l’obtention du
consentement de la personne quant aux modalités d’intervention et de prise en
charge.
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
Tous ces éléments sont présentés ici,mais l’utilisateur doit garder en mémoire que l’application Up’Ostéo n’est pas
un dispositif de santé, ni un outil officiel de recommandation de bonnes
pratiques. En outre, Up’Ostéo ne peut en aucun cas se substituer à la
responsabilité individuelle du praticien qui doit être capable d’analyser
chaque cas avec ses particularités.
Up’Ostéo n’est pas un dispositif
d’aide à la décision thérapeutique, mais se présente comme un outil de révision
ou de découverte d’une pratique qui se veut rationnelle et intégrable à l’offre
de soins.
Au détour de son utilisation,
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locomoteur, viscéral et crânio-facial - la compréhension de la biomécanique fonctionnelle du corps humain
- des rappels sur les grands troubles fonctionnels de chaque système
et les modalités de prise en charge ostéopathique - des vidéos présentant les actes thérapeutiques manuels
recommandés, sur la base d’éléments observables et reproductibles - des outils permettant de générer des fiches patients et de
collecter des données cliniques dans le respect des dispositions relatives au
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version gratuite ou payante, certains modules étant alors accessibles après un
achat unique, éventuellement reconduit en cas de mise à jour de nouvelles
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l’objet, des circonstances et des modalités de son utilisation, quelle que soit
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L’ostéopathie est une pratique dite de
première ligne c’est pourquoi Ostéobio incite ses étudiants à acquérir certains
réflexes éthiques, comme :
- réfléchir en premier lieu à ce qu’ils peuvent faire pour les
personnes qui les consultent, - se demander si l’ostéopathie est bien indiquée, même en l’absence
de contre-indication, - envisager avec la personne qui consulte la possibilité d’une autre
pratique ou discipline thérapeutique (médicale ou paramédicale), - s’assurer du respect du droit des personnes prises en charge,
notamment la délivrance d’une information de qualité et l’obtention du
consentement de la personne quant aux modalités d’intervention et de prise en
charge.
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
De ces 2 derniers points découle unbilan fonctionnel qui doit conditionner logiquement la stratégie de traitement
et les actes à produire ou les conseils qui peuvent être délivrés au patient
dans le respect de ses droits, en particulier pour ce qui est de la délivrance
d’une information de qualité et l’obtention de son consentement quant aux
modalités d’intervention et de prise en charge.
Tous ces éléments sont présentés ici,
mais l’utilisateur doit garder en mémoire que l’application Up’Ostéo n’est pas
un dispositif de santé, ni un outil officiel de recommandation de bonnes
pratiques. En outre, Up’Ostéo ne peut en aucun cas se substituer à la
responsabilité individuelle du praticien qui doit être capable d’analyser
chaque cas avec ses particularités.
Up’Ostéo n’est pas un dispositif
d’aide à la décision thérapeutique, mais se présente comme un outil de révision
ou de découverte d’une pratique qui se veut rationnelle et intégrable à l’offre
de soins.
Au détour de son utilisation,
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L’ostéopathie est une pratique dite de
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- réfléchir en premier lieu à ce qu’ils peuvent faire pour les
personnes qui les consultent, - se demander si l’ostéopathie est bien indiquée, même en l’absence
de contre-indication, - envisager avec la personne qui consulte la possibilité d’une autre
pratique ou discipline thérapeutique (médicale ou paramédicale), - s’assurer du respect du droit des personnes prises en charge,
notamment la délivrance d’une information de qualité et l’obtention du
consentement de la personne quant aux modalités d’intervention et de prise en
charge.
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
De ces 2 derniers points découle un
bilan fonctionnel qui doit conditionner logiquement la stratégie de traitement
et les actes à produire ou les conseils qui peuvent être délivrés au patient
dans le respect de ses droits, en particulier pour ce qui est de la délivrance
d’une information de qualité et l’obtention de son consentement quant aux
modalités d’intervention et de prise en charge.
Tous ces éléments sont présentés ici,
mais l’utilisateur doit garder en mémoire que l’application Up’Ostéo n’est pas
un dispositif de santé, ni un outil officiel de recommandation de bonnes
pratiques. En outre, Up’Ostéo ne peut en aucun cas se substituer à la
responsabilité individuelle du praticien qui doit être capable d’analyser
chaque cas avec ses particularités.
Up’Ostéo n’est pas un dispositif
d’aide à la décision thérapeutique, mais se présente comme un outil de révision
ou de découverte d’une pratique qui se veut rationnelle et intégrable à l’offre
de soins.
Au détour de son utilisation,
plusieurs fonctionnalités seront accessibles telles que :
- la (re)découverte succincte de l’anatomie des appareils
locomoteur, viscéral et crânio-facial - la compréhension de la biomécanique fonctionnelle du corps humain
- des rappels sur les grands troubles fonctionnels de chaque système
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recommandés, sur la base d’éléments observables et reproductibles - des outils permettant de générer des fiches patients et de
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achat unique, éventuellement reconduit en cas de mise à jour de nouvelles
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l’objet, des circonstances et des modalités de son utilisation, quelle que soit
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L’ostéopathie est une pratique dite de
première ligne c’est pourquoi Ostéobio incite ses étudiants à acquérir certains
réflexes éthiques, comme :
- réfléchir en premier lieu à ce qu’ils peuvent faire pour les
personnes qui les consultent, - se demander si l’ostéopathie est bien indiquée, même en l’absence
de contre-indication, - envisager avec la personne qui consulte la possibilité d’une autre
pratique ou discipline thérapeutique (médicale ou paramédicale), - s’assurer du respect du droit des personnes prises en charge,
notamment la délivrance d’une information de qualité et l’obtention du
consentement de la personne quant aux modalités d’intervention et de prise en
charge.
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
Ainsi, la démarche et le raisonnement ostéopathique
doivent s’appuyer sur des données médicales et scientifiques pour définir, sur
chaque élément d’un système dysfonctionnel :
- les paramètres physiopathologiques du
système investigué - les drapeaux rouges interdisant formellement une prise en charge
ostéopathique - la caractérisation objective ou, tout au moins évaluable par le
patient, du trouble fonctionnel - l’identification de facteurs de risque individuels susceptibles
d’expliquer l’apparition ou la récidive de ce trouble fonctionnel
De ces 2 derniers points découle un
bilan fonctionnel qui doit conditionner logiquement la stratégie de traitement
et les actes à produire ou les conseils qui peuvent être délivrés au patient
dans le respect de ses droits, en particulier pour ce qui est de la délivrance
d’une information de qualité et l’obtention de son consentement quant aux
modalités d’intervention et de prise en charge.
Tous ces éléments sont présentés ici,
mais l’utilisateur doit garder en mémoire que l’application Up’Ostéo n’est pas
un dispositif de santé, ni un outil officiel de recommandation de bonnes
pratiques. En outre, Up’Ostéo ne peut en aucun cas se substituer à la
responsabilité individuelle du praticien qui doit être capable d’analyser
chaque cas avec ses particularités.
Up’Ostéo n’est pas un dispositif
d’aide à la décision thérapeutique, mais se présente comme un outil de révision
ou de découverte d’une pratique qui se veut rationnelle et intégrable à l’offre
de soins.
Au détour de son utilisation,
plusieurs fonctionnalités seront accessibles telles que :
- la (re)découverte succincte de l’anatomie des appareils
locomoteur, viscéral et crânio-facial - la compréhension de la biomécanique fonctionnelle du corps humain
- des rappels sur les grands troubles fonctionnels de chaque système
et les modalités de prise en charge ostéopathique - des vidéos présentant les actes thérapeutiques manuels
recommandés, sur la base d’éléments observables et reproductibles - des outils permettant de générer des fiches patients et de
collecter des données cliniques dans le respect des dispositions relatives au
RGPD
L’appli Up’Ostéo est disponible en
version gratuite ou payante, certains modules étant alors accessibles après un
achat unique, éventuellement reconduit en cas de mise à jour de nouvelles
fonctionnalités. Up’Ostéo ne nécessite pas d’abonnement ni de licence
d’utilisation. De fait, l’éditeur décline toute responsabilité vis-à-vis de
l’objet, des circonstances et des modalités de son utilisation, quelle que soit
la version téléchargée.
Glossaire
L’ostéopathie est une pratique dite de
première ligne c’est pourquoi Ostéobio incite ses étudiants à acquérir certains
réflexes éthiques, comme :
- réfléchir en premier lieu à ce qu’ils peuvent faire pour les
personnes qui les consultent, - se demander si l’ostéopathie est bien indiquée, même en l’absence
de contre-indication, - envisager avec la personne qui consulte la possibilité d’une autre
pratique ou discipline thérapeutique (médicale ou paramédicale), - s’assurer du respect du droit des personnes prises en charge,
notamment la délivrance d’une information de qualité et l’obtention du
consentement de la personne quant aux modalités d’intervention et de prise en
charge.
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
Il est admis dans la littérature médicale etscientifique que l’efficacité des médecines manuelles telles que l’ostéopathie
est avérée sur la plupart des douleurs musculo-squelettiques aiguës. Elle se
place alors comme une option thérapeutique avantageuse en termes de temps et de
coûts de traitement, vis-à-vis des autres pratiques de santé. En revanche, dès
que la douleur ou l’impotence fonctionnelle devient chronique (à partir de 3
mois d’ancienneté), une approche collaborative avec d’autres disciplines
thérapeutiques doit être envisagée.
L’application Up’Ostéo
L’ostéopathie est un objet de science observable et étudiable si elle est considérée comme une
pratique, c’est à dire comme un ensemble de savoir-faire qui concourent à
l’élaboration d’un diagnostic ostéopathique et d’une prise en charge
thérapeutique respectant les principes d’efficacité et de sécurité.
Pourtant, la difficulté que présentent
les ostéopathes à intégrer leur pratique à l’offre de soins est réelle. Le plus
souvent, cet écueil est dû à des défauts de communication ou à l’idée piégeuse
selon laquelle l’ostéopathie pourrait dépasser son statut de pratique
professionnelle pour devenir une pensée, une philosophie de la santé, voire une
cosmogonie. Face au nombre important de concepts, démarches, méthodes et autres
modèles ostéopathiques, cette application a été créée pour permettre aux
ostéopathes de se focaliser sur des éléments observables, tangibles et comparables
liés à l’état clinique du patient. Tout ce qui est présenté ici émane, au mieux
de recommandations internationales, au pire de réflexions ou de consensus
professionnels autorisant une évaluation objective de la pratique
ostéopathique.
Ainsi, la démarche et le raisonnement ostéopathique
doivent s’appuyer sur des données médicales et scientifiques pour définir, sur
chaque élément d’un système dysfonctionnel :
- les paramètres physiopathologiques du
système investigué - les drapeaux rouges interdisant formellement une prise en charge
ostéopathique - la caractérisation objective ou, tout au moins évaluable par le
patient, du trouble fonctionnel - l’identification de facteurs de risque individuels susceptibles
d’expliquer l’apparition ou la récidive de ce trouble fonctionnel
De ces 2 derniers points découle un
bilan fonctionnel qui doit conditionner logiquement la stratégie de traitement
et les actes à produire ou les conseils qui peuvent être délivrés au patient
dans le respect de ses droits, en particulier pour ce qui est de la délivrance
d’une information de qualité et l’obtention de son consentement quant aux
modalités d’intervention et de prise en charge.
Tous ces éléments sont présentés ici,
mais l’utilisateur doit garder en mémoire que l’application Up’Ostéo n’est pas
un dispositif de santé, ni un outil officiel de recommandation de bonnes
pratiques. En outre, Up’Ostéo ne peut en aucun cas se substituer à la
responsabilité individuelle du praticien qui doit être capable d’analyser
chaque cas avec ses particularités.
Up’Ostéo n’est pas un dispositif
d’aide à la décision thérapeutique, mais se présente comme un outil de révision
ou de découverte d’une pratique qui se veut rationnelle et intégrable à l’offre
de soins.
Au détour de son utilisation,
plusieurs fonctionnalités seront accessibles telles que :
- la (re)découverte succincte de l’anatomie des appareils
locomoteur, viscéral et crânio-facial - la compréhension de la biomécanique fonctionnelle du corps humain
- des rappels sur les grands troubles fonctionnels de chaque système
et les modalités de prise en charge ostéopathique - des vidéos présentant les actes thérapeutiques manuels
recommandés, sur la base d’éléments observables et reproductibles - des outils permettant de générer des fiches patients et de
collecter des données cliniques dans le respect des dispositions relatives au
RGPD
L’appli Up’Ostéo est disponible en
version gratuite ou payante, certains modules étant alors accessibles après un
achat unique, éventuellement reconduit en cas de mise à jour de nouvelles
fonctionnalités. Up’Ostéo ne nécessite pas d’abonnement ni de licence
d’utilisation. De fait, l’éditeur décline toute responsabilité vis-à-vis de
l’objet, des circonstances et des modalités de son utilisation, quelle que soit
la version téléchargée.
Glossaire
L’ostéopathie est une pratique dite de
première ligne c’est pourquoi Ostéobio incite ses étudiants à acquérir certains
réflexes éthiques, comme :
- réfléchir en premier lieu à ce qu’ils peuvent faire pour les
personnes qui les consultent, - se demander si l’ostéopathie est bien indiquée, même en l’absence
de contre-indication, - envisager avec la personne qui consulte la possibilité d’une autre
pratique ou discipline thérapeutique (médicale ou paramédicale), - s’assurer du respect du droit des personnes prises en charge,
notamment la délivrance d’une information de qualité et l’obtention du
consentement de la personne quant aux modalités d’intervention et de prise en
charge.
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
- d’un diagnostic d’opportunité, grâce auquel l’ostéopathe détermine
s’il est apte et le mieux placé pour prendre en charge la demande du patient - d’un diagnostic fonctionnel qui doit induire logiquement le
traitement
Il est admis dans la littérature médicale et
scientifique que l’efficacité des médecines manuelles telles que l’ostéopathie
est avérée sur la plupart des douleurs musculo-squelettiques aiguës. Elle se
place alors comme une option thérapeutique avantageuse en termes de temps et de
coûts de traitement, vis-à-vis des autres pratiques de santé. En revanche, dès
que la douleur ou l’impotence fonctionnelle devient chronique (à partir de 3
mois d’ancienneté), une approche collaborative avec d’autres disciplines
thérapeutiques doit être envisagée.
L’application Up’Ostéo
L’ostéopathie est un objet de science observable et étudiable si elle est considérée comme une
pratique, c’est à dire comme un ensemble de savoir-faire qui concourent à
l’élaboration d’un diagnostic ostéopathique et d’une prise en charge
thérapeutique respectant les principes d’efficacité et de sécurité.
Pourtant, la difficulté que présentent
les ostéopathes à intégrer leur pratique à l’offre de soins est réelle. Le plus
souvent, cet écueil est dû à des défauts de communication ou à l’idée piégeuse
selon laquelle l’ostéopathie pourrait dépasser son statut de pratique
professionnelle pour devenir une pensée, une philosophie de la santé, voire une
cosmogonie. Face au nombre important de concepts, démarches, méthodes et autres
modèles ostéopathiques, cette application a été créée pour permettre aux
ostéopathes de se focaliser sur des éléments observables, tangibles et comparables
liés à l’état clinique du patient. Tout ce qui est présenté ici émane, au mieux
de recommandations internationales, au pire de réflexions ou de consensus
professionnels autorisant une évaluation objective de la pratique
ostéopathique.
Ainsi, la démarche et le raisonnement ostéopathique
doivent s’appuyer sur des données médicales et scientifiques pour définir, sur
chaque élément d’un système dysfonctionnel :
- les paramètres physiopathologiques du
système investigué - les drapeaux rouges interdisant formellement une prise en charge
ostéopathique - la caractérisation objective ou, tout au moins évaluable par le
patient, du trouble fonctionnel - l’identification de facteurs de risque individuels susceptibles
d’expliquer l’apparition ou la récidive de ce trouble fonctionnel
De ces 2 derniers points découle un
bilan fonctionnel qui doit conditionner logiquement la stratégie de traitement
et les actes à produire ou les conseils qui peuvent être délivrés au patient
dans le respect de ses droits, en particulier pour ce qui est de la délivrance
d’une information de qualité et l’obtention de son consentement quant aux
modalités d’intervention et de prise en charge.
Tous ces éléments sont présentés ici,
mais l’utilisateur doit garder en mémoire que l’application Up’Ostéo n’est pas
un dispositif de santé, ni un outil officiel de recommandation de bonnes
pratiques. En outre, Up’Ostéo ne peut en aucun cas se substituer à la
responsabilité individuelle du praticien qui doit être capable d’analyser
chaque cas avec ses particularités.
Up’Ostéo n’est pas un dispositif
d’aide à la décision thérapeutique, mais se présente comme un outil de révision
ou de découverte d’une pratique qui se veut rationnelle et intégrable à l’offre
de soins.
Au détour de son utilisation,
plusieurs fonctionnalités seront accessibles telles que :
- la (re)découverte succincte de l’anatomie des appareils
locomoteur, viscéral et crânio-facial - la compréhension de la biomécanique fonctionnelle du corps humain
- des rappels sur les grands troubles fonctionnels de chaque système
et les modalités de prise en charge ostéopathique - des vidéos présentant les actes thérapeutiques manuels
recommandés, sur la base d’éléments observables et reproductibles - des outils permettant de générer des fiches patients et de
collecter des données cliniques dans le respect des dispositions relatives au
RGPD
L’appli Up’Ostéo est disponible en
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achat unique, éventuellement reconduit en cas de mise à jour de nouvelles
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l’objet, des circonstances et des modalités de son utilisation, quelle que soit
la version téléchargée.
Glossaire
L’ostéopathie est une pratique dite de
première ligne c’est pourquoi Ostéobio incite ses étudiants à acquérir certains
réflexes éthiques, comme :
- réfléchir en premier lieu à ce qu’ils peuvent faire pour les
personnes qui les consultent, - se demander si l’ostéopathie est bien indiquée, même en l’absence
de contre-indication, - envisager avec la personne qui consulte la possibilité d’une autre
pratique ou discipline thérapeutique (médicale ou paramédicale), - s’assurer du respect du droit des personnes prises en charge,
notamment la délivrance d’une information de qualité et l’obtention du
consentement de la personne quant aux modalités d’intervention et de prise en
charge.
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
En amont de la phase de traitement, lediagnostic ostéopathique se compose :
- d’un diagnostic d’opportunité, grâce auquel l’ostéopathe détermine
s’il est apte et le mieux placé pour prendre en charge la demande du patient - d’un diagnostic fonctionnel qui doit induire logiquement le
traitement
Il est admis dans la littérature médicale et
scientifique que l’efficacité des médecines manuelles telles que l’ostéopathie
est avérée sur la plupart des douleurs musculo-squelettiques aiguës. Elle se
place alors comme une option thérapeutique avantageuse en termes de temps et de
coûts de traitement, vis-à-vis des autres pratiques de santé. En revanche, dès
que la douleur ou l’impotence fonctionnelle devient chronique (à partir de 3
mois d’ancienneté), une approche collaborative avec d’autres disciplines
thérapeutiques doit être envisagée.
L’application Up’Ostéo
L’ostéopathie est un objet de science observable et étudiable si elle est considérée comme une
pratique, c’est à dire comme un ensemble de savoir-faire qui concourent à
l’élaboration d’un diagnostic ostéopathique et d’une prise en charge
thérapeutique respectant les principes d’efficacité et de sécurité.
Pourtant, la difficulté que présentent
les ostéopathes à intégrer leur pratique à l’offre de soins est réelle. Le plus
souvent, cet écueil est dû à des défauts de communication ou à l’idée piégeuse
selon laquelle l’ostéopathie pourrait dépasser son statut de pratique
professionnelle pour devenir une pensée, une philosophie de la santé, voire une
cosmogonie. Face au nombre important de concepts, démarches, méthodes et autres
modèles ostéopathiques, cette application a été créée pour permettre aux
ostéopathes de se focaliser sur des éléments observables, tangibles et comparables
liés à l’état clinique du patient. Tout ce qui est présenté ici émane, au mieux
de recommandations internationales, au pire de réflexions ou de consensus
professionnels autorisant une évaluation objective de la pratique
ostéopathique.
Ainsi, la démarche et le raisonnement ostéopathique
doivent s’appuyer sur des données médicales et scientifiques pour définir, sur
chaque élément d’un système dysfonctionnel :
- les paramètres physiopathologiques du
système investigué - les drapeaux rouges interdisant formellement une prise en charge
ostéopathique - la caractérisation objective ou, tout au moins évaluable par le
patient, du trouble fonctionnel - l’identification de facteurs de risque individuels susceptibles
d’expliquer l’apparition ou la récidive de ce trouble fonctionnel
De ces 2 derniers points découle un
bilan fonctionnel qui doit conditionner logiquement la stratégie de traitement
et les actes à produire ou les conseils qui peuvent être délivrés au patient
dans le respect de ses droits, en particulier pour ce qui est de la délivrance
d’une information de qualité et l’obtention de son consentement quant aux
modalités d’intervention et de prise en charge.
Tous ces éléments sont présentés ici,
mais l’utilisateur doit garder en mémoire que l’application Up’Ostéo n’est pas
un dispositif de santé, ni un outil officiel de recommandation de bonnes
pratiques. En outre, Up’Ostéo ne peut en aucun cas se substituer à la
responsabilité individuelle du praticien qui doit être capable d’analyser
chaque cas avec ses particularités.
Up’Ostéo n’est pas un dispositif
d’aide à la décision thérapeutique, mais se présente comme un outil de révision
ou de découverte d’une pratique qui se veut rationnelle et intégrable à l’offre
de soins.
Au détour de son utilisation,
plusieurs fonctionnalités seront accessibles telles que :
- la (re)découverte succincte de l’anatomie des appareils
locomoteur, viscéral et crânio-facial - la compréhension de la biomécanique fonctionnelle du corps humain
- des rappels sur les grands troubles fonctionnels de chaque système
et les modalités de prise en charge ostéopathique - des vidéos présentant les actes thérapeutiques manuels
recommandés, sur la base d’éléments observables et reproductibles - des outils permettant de générer des fiches patients et de
collecter des données cliniques dans le respect des dispositions relatives au
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d’utilisation. De fait, l’éditeur décline toute responsabilité vis-à-vis de
l’objet, des circonstances et des modalités de son utilisation, quelle que soit
la version téléchargée.
Glossaire
L’ostéopathie est une pratique dite de
première ligne c’est pourquoi Ostéobio incite ses étudiants à acquérir certains
réflexes éthiques, comme :
- réfléchir en premier lieu à ce qu’ils peuvent faire pour les
personnes qui les consultent, - se demander si l’ostéopathie est bien indiquée, même en l’absence
de contre-indication, - envisager avec la personne qui consulte la possibilité d’une autre
pratique ou discipline thérapeutique (médicale ou paramédicale), - s’assurer du respect du droit des personnes prises en charge,
notamment la délivrance d’une information de qualité et l’obtention du
consentement de la personne quant aux modalités d’intervention et de prise en
charge.
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
Les manipulations sont réputées pour produireles effets les plus rapides et les plus durables sur la douleur et
l’enraidissement musculaire, mais elles peuvent faire l’objet de contre-indications.
En amont de la phase de traitement, le
diagnostic ostéopathique se compose :
- d’un diagnostic d’opportunité, grâce auquel l’ostéopathe détermine
s’il est apte et le mieux placé pour prendre en charge la demande du patient - d’un diagnostic fonctionnel qui doit induire logiquement le
traitement
Il est admis dans la littérature médicale et
scientifique que l’efficacité des médecines manuelles telles que l’ostéopathie
est avérée sur la plupart des douleurs musculo-squelettiques aiguës. Elle se
place alors comme une option thérapeutique avantageuse en termes de temps et de
coûts de traitement, vis-à-vis des autres pratiques de santé. En revanche, dès
que la douleur ou l’impotence fonctionnelle devient chronique (à partir de 3
mois d’ancienneté), une approche collaborative avec d’autres disciplines
thérapeutiques doit être envisagée.
L’application Up’Ostéo
L’ostéopathie est un objet de science observable et étudiable si elle est considérée comme une
pratique, c’est à dire comme un ensemble de savoir-faire qui concourent à
l’élaboration d’un diagnostic ostéopathique et d’une prise en charge
thérapeutique respectant les principes d’efficacité et de sécurité.
Pourtant, la difficulté que présentent
les ostéopathes à intégrer leur pratique à l’offre de soins est réelle. Le plus
souvent, cet écueil est dû à des défauts de communication ou à l’idée piégeuse
selon laquelle l’ostéopathie pourrait dépasser son statut de pratique
professionnelle pour devenir une pensée, une philosophie de la santé, voire une
cosmogonie. Face au nombre important de concepts, démarches, méthodes et autres
modèles ostéopathiques, cette application a été créée pour permettre aux
ostéopathes de se focaliser sur des éléments observables, tangibles et comparables
liés à l’état clinique du patient. Tout ce qui est présenté ici émane, au mieux
de recommandations internationales, au pire de réflexions ou de consensus
professionnels autorisant une évaluation objective de la pratique
ostéopathique.
Ainsi, la démarche et le raisonnement ostéopathique
doivent s’appuyer sur des données médicales et scientifiques pour définir, sur
chaque élément d’un système dysfonctionnel :
- les paramètres physiopathologiques du
système investigué - les drapeaux rouges interdisant formellement une prise en charge
ostéopathique - la caractérisation objective ou, tout au moins évaluable par le
patient, du trouble fonctionnel - l’identification de facteurs de risque individuels susceptibles
d’expliquer l’apparition ou la récidive de ce trouble fonctionnel
De ces 2 derniers points découle un
bilan fonctionnel qui doit conditionner logiquement la stratégie de traitement
et les actes à produire ou les conseils qui peuvent être délivrés au patient
dans le respect de ses droits, en particulier pour ce qui est de la délivrance
d’une information de qualité et l’obtention de son consentement quant aux
modalités d’intervention et de prise en charge.
Tous ces éléments sont présentés ici,
mais l’utilisateur doit garder en mémoire que l’application Up’Ostéo n’est pas
un dispositif de santé, ni un outil officiel de recommandation de bonnes
pratiques. En outre, Up’Ostéo ne peut en aucun cas se substituer à la
responsabilité individuelle du praticien qui doit être capable d’analyser
chaque cas avec ses particularités.
Up’Ostéo n’est pas un dispositif
d’aide à la décision thérapeutique, mais se présente comme un outil de révision
ou de découverte d’une pratique qui se veut rationnelle et intégrable à l’offre
de soins.
Au détour de son utilisation,
plusieurs fonctionnalités seront accessibles telles que :
- la (re)découverte succincte de l’anatomie des appareils
locomoteur, viscéral et crânio-facial - la compréhension de la biomécanique fonctionnelle du corps humain
- des rappels sur les grands troubles fonctionnels de chaque système
et les modalités de prise en charge ostéopathique - des vidéos présentant les actes thérapeutiques manuels
recommandés, sur la base d’éléments observables et reproductibles - des outils permettant de générer des fiches patients et de
collecter des données cliniques dans le respect des dispositions relatives au
RGPD
L’appli Up’Ostéo est disponible en
version gratuite ou payante, certains modules étant alors accessibles après un
achat unique, éventuellement reconduit en cas de mise à jour de nouvelles
fonctionnalités. Up’Ostéo ne nécessite pas d’abonnement ni de licence
d’utilisation. De fait, l’éditeur décline toute responsabilité vis-à-vis de
l’objet, des circonstances et des modalités de son utilisation, quelle que soit
la version téléchargée.
Glossaire
L’ostéopathie est une pratique dite de
première ligne c’est pourquoi Ostéobio incite ses étudiants à acquérir certains
réflexes éthiques, comme :
- réfléchir en premier lieu à ce qu’ils peuvent faire pour les
personnes qui les consultent, - se demander si l’ostéopathie est bien indiquée, même en l’absence
de contre-indication, - envisager avec la personne qui consulte la possibilité d’une autre
pratique ou discipline thérapeutique (médicale ou paramédicale), - s’assurer du respect du droit des personnes prises en charge,
notamment la délivrance d’une information de qualité et l’obtention du
consentement de la personne quant aux modalités d’intervention et de prise en
charge.
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
- Les manipulations articulaires : actions mécaniques à
l’interface qui se caractérisent par une faible amplitude de déformation et une
grande accélération, pouvant parfois s’accompagner d’un bruit de cavitation
(crac articulaire) - Les mobilisations : applicables au niveau des systèmes
articulaire, viscéral, voire crânio-facial (en particulier chez l’enfant),
elles peuvent aussi prendre le nom de « manœuvres » et se caractérisent
par des déformations de plus haute amplitude mais de faible accélération ;
le bruit de cavitation est rare - Les techniques neuro-musculo-aponévrotiques : elles se
caractérisent par des gestes de « décordage » ou d’étirement passif
des éléments de liaison ou de stabilisation des système musculo-squelettique et
viscéral
Les manipulations sont réputées pour produire
les effets les plus rapides et les plus durables sur la douleur et
l’enraidissement musculaire, mais elles peuvent faire l’objet de contre-indications.
En amont de la phase de traitement, le
diagnostic ostéopathique se compose :
- d’un diagnostic d’opportunité, grâce auquel l’ostéopathe détermine
s’il est apte et le mieux placé pour prendre en charge la demande du patient - d’un diagnostic fonctionnel qui doit induire logiquement le
traitement
Il est admis dans la littérature médicale et
scientifique que l’efficacité des médecines manuelles telles que l’ostéopathie
est avérée sur la plupart des douleurs musculo-squelettiques aiguës. Elle se
place alors comme une option thérapeutique avantageuse en termes de temps et de
coûts de traitement, vis-à-vis des autres pratiques de santé. En revanche, dès
que la douleur ou l’impotence fonctionnelle devient chronique (à partir de 3
mois d’ancienneté), une approche collaborative avec d’autres disciplines
thérapeutiques doit être envisagée.
L’application Up’Ostéo
L’ostéopathie est un objet de science observable et étudiable si elle est considérée comme une
pratique, c’est à dire comme un ensemble de savoir-faire qui concourent à
l’élaboration d’un diagnostic ostéopathique et d’une prise en charge
thérapeutique respectant les principes d’efficacité et de sécurité.
Pourtant, la difficulté que présentent
les ostéopathes à intégrer leur pratique à l’offre de soins est réelle. Le plus
souvent, cet écueil est dû à des défauts de communication ou à l’idée piégeuse
selon laquelle l’ostéopathie pourrait dépasser son statut de pratique
professionnelle pour devenir une pensée, une philosophie de la santé, voire une
cosmogonie. Face au nombre important de concepts, démarches, méthodes et autres
modèles ostéopathiques, cette application a été créée pour permettre aux
ostéopathes de se focaliser sur des éléments observables, tangibles et comparables
liés à l’état clinique du patient. Tout ce qui est présenté ici émane, au mieux
de recommandations internationales, au pire de réflexions ou de consensus
professionnels autorisant une évaluation objective de la pratique
ostéopathique.
Ainsi, la démarche et le raisonnement ostéopathique
doivent s’appuyer sur des données médicales et scientifiques pour définir, sur
chaque élément d’un système dysfonctionnel :
- les paramètres physiopathologiques du
système investigué - les drapeaux rouges interdisant formellement une prise en charge
ostéopathique - la caractérisation objective ou, tout au moins évaluable par le
patient, du trouble fonctionnel - l’identification de facteurs de risque individuels susceptibles
d’expliquer l’apparition ou la récidive de ce trouble fonctionnel
De ces 2 derniers points découle un
bilan fonctionnel qui doit conditionner logiquement la stratégie de traitement
et les actes à produire ou les conseils qui peuvent être délivrés au patient
dans le respect de ses droits, en particulier pour ce qui est de la délivrance
d’une information de qualité et l’obtention de son consentement quant aux
modalités d’intervention et de prise en charge.
Tous ces éléments sont présentés ici,
mais l’utilisateur doit garder en mémoire que l’application Up’Ostéo n’est pas
un dispositif de santé, ni un outil officiel de recommandation de bonnes
pratiques. En outre, Up’Ostéo ne peut en aucun cas se substituer à la
responsabilité individuelle du praticien qui doit être capable d’analyser
chaque cas avec ses particularités.
Up’Ostéo n’est pas un dispositif
d’aide à la décision thérapeutique, mais se présente comme un outil de révision
ou de découverte d’une pratique qui se veut rationnelle et intégrable à l’offre
de soins.
Au détour de son utilisation,
plusieurs fonctionnalités seront accessibles telles que :
- la (re)découverte succincte de l’anatomie des appareils
locomoteur, viscéral et crânio-facial - la compréhension de la biomécanique fonctionnelle du corps humain
- des rappels sur les grands troubles fonctionnels de chaque système
et les modalités de prise en charge ostéopathique - des vidéos présentant les actes thérapeutiques manuels
recommandés, sur la base d’éléments observables et reproductibles - des outils permettant de générer des fiches patients et de
collecter des données cliniques dans le respect des dispositions relatives au
RGPD
L’appli Up’Ostéo est disponible en
version gratuite ou payante, certains modules étant alors accessibles après un
achat unique, éventuellement reconduit en cas de mise à jour de nouvelles
fonctionnalités. Up’Ostéo ne nécessite pas d’abonnement ni de licence
d’utilisation. De fait, l’éditeur décline toute responsabilité vis-à-vis de
l’objet, des circonstances et des modalités de son utilisation, quelle que soit
la version téléchargée.
Glossaire
L’ostéopathie est une pratique dite de
première ligne c’est pourquoi Ostéobio incite ses étudiants à acquérir certains
réflexes éthiques, comme :
- réfléchir en premier lieu à ce qu’ils peuvent faire pour les
personnes qui les consultent, - se demander si l’ostéopathie est bien indiquée, même en l’absence
de contre-indication, - envisager avec la personne qui consulte la possibilité d’une autre
pratique ou discipline thérapeutique (médicale ou paramédicale), - s’assurer du respect du droit des personnes prises en charge,
notamment la délivrance d’une information de qualité et l’obtention du
consentement de la personne quant aux modalités d’intervention et de prise en
charge.
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
Les actes manuels sont regroupés entrois grandes catégories :
- Les manipulations articulaires : actions mécaniques à
l’interface qui se caractérisent par une faible amplitude de déformation et une
grande accélération, pouvant parfois s’accompagner d’un bruit de cavitation
(crac articulaire) - Les mobilisations : applicables au niveau des systèmes
articulaire, viscéral, voire crânio-facial (en particulier chez l’enfant),
elles peuvent aussi prendre le nom de « manœuvres » et se caractérisent
par des déformations de plus haute amplitude mais de faible accélération ;
le bruit de cavitation est rare - Les techniques neuro-musculo-aponévrotiques : elles se
caractérisent par des gestes de « décordage » ou d’étirement passif
des éléments de liaison ou de stabilisation des système musculo-squelettique et
viscéral
Les manipulations sont réputées pour produire
les effets les plus rapides et les plus durables sur la douleur et
l’enraidissement musculaire, mais elles peuvent faire l’objet de contre-indications.
En amont de la phase de traitement, le
diagnostic ostéopathique se compose :
- d’un diagnostic d’opportunité, grâce auquel l’ostéopathe détermine
s’il est apte et le mieux placé pour prendre en charge la demande du patient - d’un diagnostic fonctionnel qui doit induire logiquement le
traitement
Il est admis dans la littérature médicale et
scientifique que l’efficacité des médecines manuelles telles que l’ostéopathie
est avérée sur la plupart des douleurs musculo-squelettiques aiguës. Elle se
place alors comme une option thérapeutique avantageuse en termes de temps et de
coûts de traitement, vis-à-vis des autres pratiques de santé. En revanche, dès
que la douleur ou l’impotence fonctionnelle devient chronique (à partir de 3
mois d’ancienneté), une approche collaborative avec d’autres disciplines
thérapeutiques doit être envisagée.
L’application Up’Ostéo
L’ostéopathie est un objet de science observable et étudiable si elle est considérée comme une
pratique, c’est à dire comme un ensemble de savoir-faire qui concourent à
l’élaboration d’un diagnostic ostéopathique et d’une prise en charge
thérapeutique respectant les principes d’efficacité et de sécurité.
Pourtant, la difficulté que présentent
les ostéopathes à intégrer leur pratique à l’offre de soins est réelle. Le plus
souvent, cet écueil est dû à des défauts de communication ou à l’idée piégeuse
selon laquelle l’ostéopathie pourrait dépasser son statut de pratique
professionnelle pour devenir une pensée, une philosophie de la santé, voire une
cosmogonie. Face au nombre important de concepts, démarches, méthodes et autres
modèles ostéopathiques, cette application a été créée pour permettre aux
ostéopathes de se focaliser sur des éléments observables, tangibles et comparables
liés à l’état clinique du patient. Tout ce qui est présenté ici émane, au mieux
de recommandations internationales, au pire de réflexions ou de consensus
professionnels autorisant une évaluation objective de la pratique
ostéopathique.
Ainsi, la démarche et le raisonnement ostéopathique
doivent s’appuyer sur des données médicales et scientifiques pour définir, sur
chaque élément d’un système dysfonctionnel :
- les paramètres physiopathologiques du
système investigué - les drapeaux rouges interdisant formellement une prise en charge
ostéopathique - la caractérisation objective ou, tout au moins évaluable par le
patient, du trouble fonctionnel - l’identification de facteurs de risque individuels susceptibles
d’expliquer l’apparition ou la récidive de ce trouble fonctionnel
De ces 2 derniers points découle un
bilan fonctionnel qui doit conditionner logiquement la stratégie de traitement
et les actes à produire ou les conseils qui peuvent être délivrés au patient
dans le respect de ses droits, en particulier pour ce qui est de la délivrance
d’une information de qualité et l’obtention de son consentement quant aux
modalités d’intervention et de prise en charge.
Tous ces éléments sont présentés ici,
mais l’utilisateur doit garder en mémoire que l’application Up’Ostéo n’est pas
un dispositif de santé, ni un outil officiel de recommandation de bonnes
pratiques. En outre, Up’Ostéo ne peut en aucun cas se substituer à la
responsabilité individuelle du praticien qui doit être capable d’analyser
chaque cas avec ses particularités.
Up’Ostéo n’est pas un dispositif
d’aide à la décision thérapeutique, mais se présente comme un outil de révision
ou de découverte d’une pratique qui se veut rationnelle et intégrable à l’offre
de soins.
Au détour de son utilisation,
plusieurs fonctionnalités seront accessibles telles que :
- la (re)découverte succincte de l’anatomie des appareils
locomoteur, viscéral et crânio-facial - la compréhension de la biomécanique fonctionnelle du corps humain
- des rappels sur les grands troubles fonctionnels de chaque système
et les modalités de prise en charge ostéopathique - des vidéos présentant les actes thérapeutiques manuels
recommandés, sur la base d’éléments observables et reproductibles - des outils permettant de générer des fiches patients et de
collecter des données cliniques dans le respect des dispositions relatives au
RGPD
L’appli Up’Ostéo est disponible en
version gratuite ou payante, certains modules étant alors accessibles après un
achat unique, éventuellement reconduit en cas de mise à jour de nouvelles
fonctionnalités. Up’Ostéo ne nécessite pas d’abonnement ni de licence
d’utilisation. De fait, l’éditeur décline toute responsabilité vis-à-vis de
l’objet, des circonstances et des modalités de son utilisation, quelle que soit
la version téléchargée.
Glossaire
L’ostéopathie est une pratique dite de
première ligne c’est pourquoi Ostéobio incite ses étudiants à acquérir certains
réflexes éthiques, comme :
- réfléchir en premier lieu à ce qu’ils peuvent faire pour les
personnes qui les consultent, - se demander si l’ostéopathie est bien indiquée, même en l’absence
de contre-indication, - envisager avec la personne qui consulte la possibilité d’une autre
pratique ou discipline thérapeutique (médicale ou paramédicale), - s’assurer du respect du droit des personnes prises en charge,
notamment la délivrance d’une information de qualité et l’obtention du
consentement de la personne quant aux modalités d’intervention et de prise en
charge.
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
La prise en charge, basée surl’élaboration d’un diagnostic ostéopathique, aboutit à la réalisation d’actes
thérapeutiques manuels et à la formulation de conseils destinés à accompagner
le patient dans la diminution de ses douleurs et dans la récupération de ses
fonctions.
Les actes manuels sont regroupés en
trois grandes catégories :
- Les manipulations articulaires : actions mécaniques à
l’interface qui se caractérisent par une faible amplitude de déformation et une
grande accélération, pouvant parfois s’accompagner d’un bruit de cavitation
(crac articulaire) - Les mobilisations : applicables au niveau des systèmes
articulaire, viscéral, voire crânio-facial (en particulier chez l’enfant),
elles peuvent aussi prendre le nom de « manœuvres » et se caractérisent
par des déformations de plus haute amplitude mais de faible accélération ;
le bruit de cavitation est rare - Les techniques neuro-musculo-aponévrotiques : elles se
caractérisent par des gestes de « décordage » ou d’étirement passif
des éléments de liaison ou de stabilisation des système musculo-squelettique et
viscéral
Les manipulations sont réputées pour produire
les effets les plus rapides et les plus durables sur la douleur et
l’enraidissement musculaire, mais elles peuvent faire l’objet de contre-indications.
En amont de la phase de traitement, le
diagnostic ostéopathique se compose :
- d’un diagnostic d’opportunité, grâce auquel l’ostéopathe détermine
s’il est apte et le mieux placé pour prendre en charge la demande du patient - d’un diagnostic fonctionnel qui doit induire logiquement le
traitement
Il est admis dans la littérature médicale et
scientifique que l’efficacité des médecines manuelles telles que l’ostéopathie
est avérée sur la plupart des douleurs musculo-squelettiques aiguës. Elle se
place alors comme une option thérapeutique avantageuse en termes de temps et de
coûts de traitement, vis-à-vis des autres pratiques de santé. En revanche, dès
que la douleur ou l’impotence fonctionnelle devient chronique (à partir de 3
mois d’ancienneté), une approche collaborative avec d’autres disciplines
thérapeutiques doit être envisagée.
L’application Up’Ostéo
L’ostéopathie est un objet de science observable et étudiable si elle est considérée comme une
pratique, c’est à dire comme un ensemble de savoir-faire qui concourent à
l’élaboration d’un diagnostic ostéopathique et d’une prise en charge
thérapeutique respectant les principes d’efficacité et de sécurité.
Pourtant, la difficulté que présentent
les ostéopathes à intégrer leur pratique à l’offre de soins est réelle. Le plus
souvent, cet écueil est dû à des défauts de communication ou à l’idée piégeuse
selon laquelle l’ostéopathie pourrait dépasser son statut de pratique
professionnelle pour devenir une pensée, une philosophie de la santé, voire une
cosmogonie. Face au nombre important de concepts, démarches, méthodes et autres
modèles ostéopathiques, cette application a été créée pour permettre aux
ostéopathes de se focaliser sur des éléments observables, tangibles et comparables
liés à l’état clinique du patient. Tout ce qui est présenté ici émane, au mieux
de recommandations internationales, au pire de réflexions ou de consensus
professionnels autorisant une évaluation objective de la pratique
ostéopathique.
Ainsi, la démarche et le raisonnement ostéopathique
doivent s’appuyer sur des données médicales et scientifiques pour définir, sur
chaque élément d’un système dysfonctionnel :
- les paramètres physiopathologiques du
système investigué - les drapeaux rouges interdisant formellement une prise en charge
ostéopathique - la caractérisation objective ou, tout au moins évaluable par le
patient, du trouble fonctionnel - l’identification de facteurs de risque individuels susceptibles
d’expliquer l’apparition ou la récidive de ce trouble fonctionnel
De ces 2 derniers points découle un
bilan fonctionnel qui doit conditionner logiquement la stratégie de traitement
et les actes à produire ou les conseils qui peuvent être délivrés au patient
dans le respect de ses droits, en particulier pour ce qui est de la délivrance
d’une information de qualité et l’obtention de son consentement quant aux
modalités d’intervention et de prise en charge.
Tous ces éléments sont présentés ici,
mais l’utilisateur doit garder en mémoire que l’application Up’Ostéo n’est pas
un dispositif de santé, ni un outil officiel de recommandation de bonnes
pratiques. En outre, Up’Ostéo ne peut en aucun cas se substituer à la
responsabilité individuelle du praticien qui doit être capable d’analyser
chaque cas avec ses particularités.
Up’Ostéo n’est pas un dispositif
d’aide à la décision thérapeutique, mais se présente comme un outil de révision
ou de découverte d’une pratique qui se veut rationnelle et intégrable à l’offre
de soins.
Au détour de son utilisation,
plusieurs fonctionnalités seront accessibles telles que :
- la (re)découverte succincte de l’anatomie des appareils
locomoteur, viscéral et crânio-facial - la compréhension de la biomécanique fonctionnelle du corps humain
- des rappels sur les grands troubles fonctionnels de chaque système
et les modalités de prise en charge ostéopathique - des vidéos présentant les actes thérapeutiques manuels
recommandés, sur la base d’éléments observables et reproductibles - des outils permettant de générer des fiches patients et de
collecter des données cliniques dans le respect des dispositions relatives au
RGPD
L’appli Up’Ostéo est disponible en
version gratuite ou payante, certains modules étant alors accessibles après un
achat unique, éventuellement reconduit en cas de mise à jour de nouvelles
fonctionnalités. Up’Ostéo ne nécessite pas d’abonnement ni de licence
d’utilisation. De fait, l’éditeur décline toute responsabilité vis-à-vis de
l’objet, des circonstances et des modalités de son utilisation, quelle que soit
la version téléchargée.
Glossaire
L’ostéopathie est une pratique dite de
première ligne c’est pourquoi Ostéobio incite ses étudiants à acquérir certains
réflexes éthiques, comme :
- réfléchir en premier lieu à ce qu’ils peuvent faire pour les
personnes qui les consultent, - se demander si l’ostéopathie est bien indiquée, même en l’absence
de contre-indication, - envisager avec la personne qui consulte la possibilité d’une autre
pratique ou discipline thérapeutique (médicale ou paramédicale), - s’assurer du respect du droit des personnes prises en charge,
notamment la délivrance d’une information de qualité et l’obtention du
consentement de la personne quant aux modalités d’intervention et de prise en
charge.
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
La prise en charge, basée sur
l’élaboration d’un diagnostic ostéopathique, aboutit à la réalisation d’actes
thérapeutiques manuels et à la formulation de conseils destinés à accompagner
le patient dans la diminution de ses douleurs et dans la récupération de ses
fonctions.
Les actes manuels sont regroupés en
trois grandes catégories :
- Les manipulations articulaires : actions mécaniques à
l’interface qui se caractérisent par une faible amplitude de déformation et une
grande accélération, pouvant parfois s’accompagner d’un bruit de cavitation
(crac articulaire) - Les mobilisations : applicables au niveau des systèmes
articulaire, viscéral, voire crânio-facial (en particulier chez l’enfant),
elles peuvent aussi prendre le nom de « manœuvres » et se caractérisent
par des déformations de plus haute amplitude mais de faible accélération ;
le bruit de cavitation est rare - Les techniques neuro-musculo-aponévrotiques : elles se
caractérisent par des gestes de « décordage » ou d’étirement passif
des éléments de liaison ou de stabilisation des système musculo-squelettique et
viscéral
Les manipulations sont réputées pour produire
les effets les plus rapides et les plus durables sur la douleur et
l’enraidissement musculaire, mais elles peuvent faire l’objet de contre-indications.
En amont de la phase de traitement, le
diagnostic ostéopathique se compose :
- d’un diagnostic d’opportunité, grâce auquel l’ostéopathe détermine
s’il est apte et le mieux placé pour prendre en charge la demande du patient - d’un diagnostic fonctionnel qui doit induire logiquement le
traitement
Il est admis dans la littérature médicale et
scientifique que l’efficacité des médecines manuelles telles que l’ostéopathie
est avérée sur la plupart des douleurs musculo-squelettiques aiguës. Elle se
place alors comme une option thérapeutique avantageuse en termes de temps et de
coûts de traitement, vis-à-vis des autres pratiques de santé. En revanche, dès
que la douleur ou l’impotence fonctionnelle devient chronique (à partir de 3
mois d’ancienneté), une approche collaborative avec d’autres disciplines
thérapeutiques doit être envisagée.
L’application Up’Ostéo
L’ostéopathie est un objet de science observable et étudiable si elle est considérée comme une
pratique, c’est à dire comme un ensemble de savoir-faire qui concourent à
l’élaboration d’un diagnostic ostéopathique et d’une prise en charge
thérapeutique respectant les principes d’efficacité et de sécurité.
Pourtant, la difficulté que présentent
les ostéopathes à intégrer leur pratique à l’offre de soins est réelle. Le plus
souvent, cet écueil est dû à des défauts de communication ou à l’idée piégeuse
selon laquelle l’ostéopathie pourrait dépasser son statut de pratique
professionnelle pour devenir une pensée, une philosophie de la santé, voire une
cosmogonie. Face au nombre important de concepts, démarches, méthodes et autres
modèles ostéopathiques, cette application a été créée pour permettre aux
ostéopathes de se focaliser sur des éléments observables, tangibles et comparables
liés à l’état clinique du patient. Tout ce qui est présenté ici émane, au mieux
de recommandations internationales, au pire de réflexions ou de consensus
professionnels autorisant une évaluation objective de la pratique
ostéopathique.
Ainsi, la démarche et le raisonnement ostéopathique
doivent s’appuyer sur des données médicales et scientifiques pour définir, sur
chaque élément d’un système dysfonctionnel :
- les paramètres physiopathologiques du
système investigué - les drapeaux rouges interdisant formellement une prise en charge
ostéopathique - la caractérisation objective ou, tout au moins évaluable par le
patient, du trouble fonctionnel - l’identification de facteurs de risque individuels susceptibles
d’expliquer l’apparition ou la récidive de ce trouble fonctionnel
De ces 2 derniers points découle un
bilan fonctionnel qui doit conditionner logiquement la stratégie de traitement
et les actes à produire ou les conseils qui peuvent être délivrés au patient
dans le respect de ses droits, en particulier pour ce qui est de la délivrance
d’une information de qualité et l’obtention de son consentement quant aux
modalités d’intervention et de prise en charge.
Tous ces éléments sont présentés ici,
mais l’utilisateur doit garder en mémoire que l’application Up’Ostéo n’est pas
un dispositif de santé, ni un outil officiel de recommandation de bonnes
pratiques. En outre, Up’Ostéo ne peut en aucun cas se substituer à la
responsabilité individuelle du praticien qui doit être capable d’analyser
chaque cas avec ses particularités.
Up’Ostéo n’est pas un dispositif
d’aide à la décision thérapeutique, mais se présente comme un outil de révision
ou de découverte d’une pratique qui se veut rationnelle et intégrable à l’offre
de soins.
Au détour de son utilisation,
plusieurs fonctionnalités seront accessibles telles que :
- la (re)découverte succincte de l’anatomie des appareils
locomoteur, viscéral et crânio-facial - la compréhension de la biomécanique fonctionnelle du corps humain
- des rappels sur les grands troubles fonctionnels de chaque système
et les modalités de prise en charge ostéopathique - des vidéos présentant les actes thérapeutiques manuels
recommandés, sur la base d’éléments observables et reproductibles - des outils permettant de générer des fiches patients et de
collecter des données cliniques dans le respect des dispositions relatives au
RGPD
L’appli Up’Ostéo est disponible en
version gratuite ou payante, certains modules étant alors accessibles après un
achat unique, éventuellement reconduit en cas de mise à jour de nouvelles
fonctionnalités. Up’Ostéo ne nécessite pas d’abonnement ni de licence
d’utilisation. De fait, l’éditeur décline toute responsabilité vis-à-vis de
l’objet, des circonstances et des modalités de son utilisation, quelle que soit
la version téléchargée.
Glossaire
L’ostéopathie est une pratique dite de
première ligne c’est pourquoi Ostéobio incite ses étudiants à acquérir certains
réflexes éthiques, comme :
- réfléchir en premier lieu à ce qu’ils peuvent faire pour les
personnes qui les consultent, - se demander si l’ostéopathie est bien indiquée, même en l’absence
de contre-indication, - envisager avec la personne qui consulte la possibilité d’une autre
pratique ou discipline thérapeutique (médicale ou paramédicale), - s’assurer du respect du droit des personnes prises en charge,
notamment la délivrance d’une information de qualité et l’obtention du
consentement de la personne quant aux modalités d’intervention et de prise en
charge.
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
L’ostéopathie : champ et modes d’actionSelon les textes qui régissent son
champ d’action, l’ostéopathie est une pratique professionnelle en santé, dite
de première ligne, dédiée à la prise en charge des troubles fonctionnels du
corps humain.
Les définitions du trouble fonctionnel
sont nombreuses et imprécises mais il serait possible de les résumer en un
ensemble de symptômes combinant des douleurs et/ou des impotences ayant des
conséquences fonctionnelles sur les appareils locomoteur, viscéral et
crânio-facial. Ces symptômes peuvent être indépendants de toute affection
biologique ou de toute atteinte d’une structure anatomique mais ils peuvent
aussi accompagner l’expression d’une maladie. Dans le premier cas, le traitement
ostéopathique représente souvent l’option thérapeutique la plus pertinente
(surtout dans le cas de douleurs musculo-squelettiques aiguës), dans le second,
le traitement ostéopathique revêt un caractère adjuvant, portant sur le confort
de vie du patient.
La prise en charge, basée sur
l’élaboration d’un diagnostic ostéopathique, aboutit à la réalisation d’actes
thérapeutiques manuels et à la formulation de conseils destinés à accompagner
le patient dans la diminution de ses douleurs et dans la récupération de ses
fonctions.
Les actes manuels sont regroupés en
trois grandes catégories :
- Les manipulations articulaires : actions mécaniques à
l’interface qui se caractérisent par une faible amplitude de déformation et une
grande accélération, pouvant parfois s’accompagner d’un bruit de cavitation
(crac articulaire) - Les mobilisations : applicables au niveau des systèmes
articulaire, viscéral, voire crânio-facial (en particulier chez l’enfant),
elles peuvent aussi prendre le nom de « manœuvres » et se caractérisent
par des déformations de plus haute amplitude mais de faible accélération ;
le bruit de cavitation est rare - Les techniques neuro-musculo-aponévrotiques : elles se
caractérisent par des gestes de « décordage » ou d’étirement passif
des éléments de liaison ou de stabilisation des système musculo-squelettique et
viscéral
Les manipulations sont réputées pour produire
les effets les plus rapides et les plus durables sur la douleur et
l’enraidissement musculaire, mais elles peuvent faire l’objet de contre-indications.
En amont de la phase de traitement, le
diagnostic ostéopathique se compose :
- d’un diagnostic d’opportunité, grâce auquel l’ostéopathe détermine
s’il est apte et le mieux placé pour prendre en charge la demande du patient - d’un diagnostic fonctionnel qui doit induire logiquement le
traitement
Il est admis dans la littérature médicale et
scientifique que l’efficacité des médecines manuelles telles que l’ostéopathie
est avérée sur la plupart des douleurs musculo-squelettiques aiguës. Elle se
place alors comme une option thérapeutique avantageuse en termes de temps et de
coûts de traitement, vis-à-vis des autres pratiques de santé. En revanche, dès
que la douleur ou l’impotence fonctionnelle devient chronique (à partir de 3
mois d’ancienneté), une approche collaborative avec d’autres disciplines
thérapeutiques doit être envisagée.
L’application Up’Ostéo
L’ostéopathie est un objet de science observable et étudiable si elle est considérée comme une
pratique, c’est à dire comme un ensemble de savoir-faire qui concourent à
l’élaboration d’un diagnostic ostéopathique et d’une prise en charge
thérapeutique respectant les principes d’efficacité et de sécurité.
Pourtant, la difficulté que présentent
les ostéopathes à intégrer leur pratique à l’offre de soins est réelle. Le plus
souvent, cet écueil est dû à des défauts de communication ou à l’idée piégeuse
selon laquelle l’ostéopathie pourrait dépasser son statut de pratique
professionnelle pour devenir une pensée, une philosophie de la santé, voire une
cosmogonie. Face au nombre important de concepts, démarches, méthodes et autres
modèles ostéopathiques, cette application a été créée pour permettre aux
ostéopathes de se focaliser sur des éléments observables, tangibles et comparables
liés à l’état clinique du patient. Tout ce qui est présenté ici émane, au mieux
de recommandations internationales, au pire de réflexions ou de consensus
professionnels autorisant une évaluation objective de la pratique
ostéopathique.
Ainsi, la démarche et le raisonnement ostéopathique
doivent s’appuyer sur des données médicales et scientifiques pour définir, sur
chaque élément d’un système dysfonctionnel :
- les paramètres physiopathologiques du
système investigué - les drapeaux rouges interdisant formellement une prise en charge
ostéopathique - la caractérisation objective ou, tout au moins évaluable par le
patient, du trouble fonctionnel - l’identification de facteurs de risque individuels susceptibles
d’expliquer l’apparition ou la récidive de ce trouble fonctionnel
De ces 2 derniers points découle un
bilan fonctionnel qui doit conditionner logiquement la stratégie de traitement
et les actes à produire ou les conseils qui peuvent être délivrés au patient
dans le respect de ses droits, en particulier pour ce qui est de la délivrance
d’une information de qualité et l’obtention de son consentement quant aux
modalités d’intervention et de prise en charge.
Tous ces éléments sont présentés ici,
mais l’utilisateur doit garder en mémoire que l’application Up’Ostéo n’est pas
un dispositif de santé, ni un outil officiel de recommandation de bonnes
pratiques. En outre, Up’Ostéo ne peut en aucun cas se substituer à la
responsabilité individuelle du praticien qui doit être capable d’analyser
chaque cas avec ses particularités.
Up’Ostéo n’est pas un dispositif
d’aide à la décision thérapeutique, mais se présente comme un outil de révision
ou de découverte d’une pratique qui se veut rationnelle et intégrable à l’offre
de soins.
Au détour de son utilisation,
plusieurs fonctionnalités seront accessibles telles que :
- la (re)découverte succincte de l’anatomie des appareils
locomoteur, viscéral et crânio-facial - la compréhension de la biomécanique fonctionnelle du corps humain
- des rappels sur les grands troubles fonctionnels de chaque système
et les modalités de prise en charge ostéopathique - des vidéos présentant les actes thérapeutiques manuels
recommandés, sur la base d’éléments observables et reproductibles - des outils permettant de générer des fiches patients et de
collecter des données cliniques dans le respect des dispositions relatives au
RGPD
L’appli Up’Ostéo est disponible en
version gratuite ou payante, certains modules étant alors accessibles après un
achat unique, éventuellement reconduit en cas de mise à jour de nouvelles
fonctionnalités. Up’Ostéo ne nécessite pas d’abonnement ni de licence
d’utilisation. De fait, l’éditeur décline toute responsabilité vis-à-vis de
l’objet, des circonstances et des modalités de son utilisation, quelle que soit
la version téléchargée.
Glossaire
L’ostéopathie est une pratique dite de
première ligne c’est pourquoi Ostéobio incite ses étudiants à acquérir certains
réflexes éthiques, comme :
- réfléchir en premier lieu à ce qu’ils peuvent faire pour les
personnes qui les consultent, - se demander si l’ostéopathie est bien indiquée, même en l’absence
de contre-indication, - envisager avec la personne qui consulte la possibilité d’une autre
pratique ou discipline thérapeutique (médicale ou paramédicale), - s’assurer du respect du droit des personnes prises en charge,
notamment la délivrance d’une information de qualité et l’obtention du
consentement de la personne quant aux modalités d’intervention et de prise en
charge.
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
ACCUEIL UP’OSTEOL’ostéopathie : champ et modes d’action
Selon les textes qui régissent son
champ d’action, l’ostéopathie est une pratique professionnelle en santé, dite
de première ligne, dédiée à la prise en charge des troubles fonctionnels du
corps humain.
Les définitions du trouble fonctionnel
sont nombreuses et imprécises mais il serait possible de les résumer en un
ensemble de symptômes combinant des douleurs et/ou des impotences ayant des
conséquences fonctionnelles sur les appareils locomoteur, viscéral et
crânio-facial. Ces symptômes peuvent être indépendants de toute affection
biologique ou de toute atteinte d’une structure anatomique mais ils peuvent
aussi accompagner l’expression d’une maladie. Dans le premier cas, le traitement
ostéopathique représente souvent l’option thérapeutique la plus pertinente
(surtout dans le cas de douleurs musculo-squelettiques aiguës), dans le second,
le traitement ostéopathique revêt un caractère adjuvant, portant sur le confort
de vie du patient.
La prise en charge, basée sur
l’élaboration d’un diagnostic ostéopathique, aboutit à la réalisation d’actes
thérapeutiques manuels et à la formulation de conseils destinés à accompagner
le patient dans la diminution de ses douleurs et dans la récupération de ses
fonctions.
Les actes manuels sont regroupés en
trois grandes catégories :
- Les manipulations articulaires : actions mécaniques à
l’interface qui se caractérisent par une faible amplitude de déformation et une
grande accélération, pouvant parfois s’accompagner d’un bruit de cavitation
(crac articulaire) - Les mobilisations : applicables au niveau des systèmes
articulaire, viscéral, voire crânio-facial (en particulier chez l’enfant),
elles peuvent aussi prendre le nom de « manœuvres » et se caractérisent
par des déformations de plus haute amplitude mais de faible accélération ;
le bruit de cavitation est rare - Les techniques neuro-musculo-aponévrotiques : elles se
caractérisent par des gestes de « décordage » ou d’étirement passif
des éléments de liaison ou de stabilisation des système musculo-squelettique et
viscéral
Les manipulations sont réputées pour produire
les effets les plus rapides et les plus durables sur la douleur et
l’enraidissement musculaire, mais elles peuvent faire l’objet de contre-indications.
En amont de la phase de traitement, le
diagnostic ostéopathique se compose :
- d’un diagnostic d’opportunité, grâce auquel l’ostéopathe détermine
s’il est apte et le mieux placé pour prendre en charge la demande du patient - d’un diagnostic fonctionnel qui doit induire logiquement le
traitement
Il est admis dans la littérature médicale et
scientifique que l’efficacité des médecines manuelles telles que l’ostéopathie
est avérée sur la plupart des douleurs musculo-squelettiques aiguës. Elle se
place alors comme une option thérapeutique avantageuse en termes de temps et de
coûts de traitement, vis-à-vis des autres pratiques de santé. En revanche, dès
que la douleur ou l’impotence fonctionnelle devient chronique (à partir de 3
mois d’ancienneté), une approche collaborative avec d’autres disciplines
thérapeutiques doit être envisagée.
L’application Up’Ostéo
L’ostéopathie est un objet de science observable et étudiable si elle est considérée comme une
pratique, c’est à dire comme un ensemble de savoir-faire qui concourent à
l’élaboration d’un diagnostic ostéopathique et d’une prise en charge
thérapeutique respectant les principes d’efficacité et de sécurité.
Pourtant, la difficulté que présentent
les ostéopathes à intégrer leur pratique à l’offre de soins est réelle. Le plus
souvent, cet écueil est dû à des défauts de communication ou à l’idée piégeuse
selon laquelle l’ostéopathie pourrait dépasser son statut de pratique
professionnelle pour devenir une pensée, une philosophie de la santé, voire une
cosmogonie. Face au nombre important de concepts, démarches, méthodes et autres
modèles ostéopathiques, cette application a été créée pour permettre aux
ostéopathes de se focaliser sur des éléments observables, tangibles et comparables
liés à l’état clinique du patient. Tout ce qui est présenté ici émane, au mieux
de recommandations internationales, au pire de réflexions ou de consensus
professionnels autorisant une évaluation objective de la pratique
ostéopathique.
Ainsi, la démarche et le raisonnement ostéopathique
doivent s’appuyer sur des données médicales et scientifiques pour définir, sur
chaque élément d’un système dysfonctionnel :
- les paramètres physiopathologiques du
système investigué - les drapeaux rouges interdisant formellement une prise en charge
ostéopathique - la caractérisation objective ou, tout au moins évaluable par le
patient, du trouble fonctionnel - l’identification de facteurs de risque individuels susceptibles
d’expliquer l’apparition ou la récidive de ce trouble fonctionnel
De ces 2 derniers points découle un
bilan fonctionnel qui doit conditionner logiquement la stratégie de traitement
et les actes à produire ou les conseils qui peuvent être délivrés au patient
dans le respect de ses droits, en particulier pour ce qui est de la délivrance
d’une information de qualité et l’obtention de son consentement quant aux
modalités d’intervention et de prise en charge.
Tous ces éléments sont présentés ici,
mais l’utilisateur doit garder en mémoire que l’application Up’Ostéo n’est pas
un dispositif de santé, ni un outil officiel de recommandation de bonnes
pratiques. En outre, Up’Ostéo ne peut en aucun cas se substituer à la
responsabilité individuelle du praticien qui doit être capable d’analyser
chaque cas avec ses particularités.
Up’Ostéo n’est pas un dispositif
d’aide à la décision thérapeutique, mais se présente comme un outil de révision
ou de découverte d’une pratique qui se veut rationnelle et intégrable à l’offre
de soins.
Au détour de son utilisation,
plusieurs fonctionnalités seront accessibles telles que :
- la (re)découverte succincte de l’anatomie des appareils
locomoteur, viscéral et crânio-facial - la compréhension de la biomécanique fonctionnelle du corps humain
- des rappels sur les grands troubles fonctionnels de chaque système
et les modalités de prise en charge ostéopathique - des vidéos présentant les actes thérapeutiques manuels
recommandés, sur la base d’éléments observables et reproductibles - des outils permettant de générer des fiches patients et de
collecter des données cliniques dans le respect des dispositions relatives au
RGPD
L’appli Up’Ostéo est disponible en
version gratuite ou payante, certains modules étant alors accessibles après un
achat unique, éventuellement reconduit en cas de mise à jour de nouvelles
fonctionnalités. Up’Ostéo ne nécessite pas d’abonnement ni de licence
d’utilisation. De fait, l’éditeur décline toute responsabilité vis-à-vis de
l’objet, des circonstances et des modalités de son utilisation, quelle que soit
la version téléchargée.
Glossaire
L’ostéopathie est une pratique dite de
première ligne c’est pourquoi Ostéobio incite ses étudiants à acquérir certains
réflexes éthiques, comme :
- réfléchir en premier lieu à ce qu’ils peuvent faire pour les
personnes qui les consultent, - se demander si l’ostéopathie est bien indiquée, même en l’absence
de contre-indication, - envisager avec la personne qui consulte la possibilité d’une autre
pratique ou discipline thérapeutique (médicale ou paramédicale), - s’assurer du respect du droit des personnes prises en charge,
notamment la délivrance d’une information de qualité et l’obtention du
consentement de la personne quant aux modalités d’intervention et de prise en
charge.
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
ACCUEIL UP’OSTEO
L’ostéopathie : champ et modes d’action
Selon les textes qui régissent son
champ d’action, l’ostéopathie est une pratique professionnelle en santé, dite
de première ligne, dédiée à la prise en charge des troubles fonctionnels du
corps humain.
Les définitions du trouble fonctionnel
sont nombreuses et imprécises mais il serait possible de les résumer en un
ensemble de symptômes combinant des douleurs et/ou des impotences ayant des
conséquences fonctionnelles sur les appareils locomoteur, viscéral et
crânio-facial. Ces symptômes peuvent être indépendants de toute affection
biologique ou de toute atteinte d’une structure anatomique mais ils peuvent
aussi accompagner l’expression d’une maladie. Dans le premier cas, le traitement
ostéopathique représente souvent l’option thérapeutique la plus pertinente
(surtout dans le cas de douleurs musculo-squelettiques aiguës), dans le second,
le traitement ostéopathique revêt un caractère adjuvant, portant sur le confort
de vie du patient.
La prise en charge, basée sur
l’élaboration d’un diagnostic ostéopathique, aboutit à la réalisation d’actes
thérapeutiques manuels et à la formulation de conseils destinés à accompagner
le patient dans la diminution de ses douleurs et dans la récupération de ses
fonctions.
Les actes manuels sont regroupés en
trois grandes catégories :
- Les manipulations articulaires : actions mécaniques à
l’interface qui se caractérisent par une faible amplitude de déformation et une
grande accélération, pouvant parfois s’accompagner d’un bruit de cavitation
(crac articulaire) - Les mobilisations : applicables au niveau des systèmes
articulaire, viscéral, voire crânio-facial (en particulier chez l’enfant),
elles peuvent aussi prendre le nom de « manœuvres » et se caractérisent
par des déformations de plus haute amplitude mais de faible accélération ;
le bruit de cavitation est rare - Les techniques neuro-musculo-aponévrotiques : elles se
caractérisent par des gestes de « décordage » ou d’étirement passif
des éléments de liaison ou de stabilisation des système musculo-squelettique et
viscéral
Les manipulations sont réputées pour produire
les effets les plus rapides et les plus durables sur la douleur et
l’enraidissement musculaire, mais elles peuvent faire l’objet de contre-indications.
En amont de la phase de traitement, le
diagnostic ostéopathique se compose :
- d’un diagnostic d’opportunité, grâce auquel l’ostéopathe détermine
s’il est apte et le mieux placé pour prendre en charge la demande du patient - d’un diagnostic fonctionnel qui doit induire logiquement le
traitement
Il est admis dans la littérature médicale et
scientifique que l’efficacité des médecines manuelles telles que l’ostéopathie
est avérée sur la plupart des douleurs musculo-squelettiques aiguës. Elle se
place alors comme une option thérapeutique avantageuse en termes de temps et de
coûts de traitement, vis-à-vis des autres pratiques de santé. En revanche, dès
que la douleur ou l’impotence fonctionnelle devient chronique (à partir de 3
mois d’ancienneté), une approche collaborative avec d’autres disciplines
thérapeutiques doit être envisagée.
L’application Up’Ostéo
L’ostéopathie est un objet de science observable et étudiable si elle est considérée comme une
pratique, c’est à dire comme un ensemble de savoir-faire qui concourent à
l’élaboration d’un diagnostic ostéopathique et d’une prise en charge
thérapeutique respectant les principes d’efficacité et de sécurité.
Pourtant, la difficulté que présentent
les ostéopathes à intégrer leur pratique à l’offre de soins est réelle. Le plus
souvent, cet écueil est dû à des défauts de communication ou à l’idée piégeuse
selon laquelle l’ostéopathie pourrait dépasser son statut de pratique
professionnelle pour devenir une pensée, une philosophie de la santé, voire une
cosmogonie. Face au nombre important de concepts, démarches, méthodes et autres
modèles ostéopathiques, cette application a été créée pour permettre aux
ostéopathes de se focaliser sur des éléments observables, tangibles et comparables
liés à l’état clinique du patient. Tout ce qui est présenté ici émane, au mieux
de recommandations internationales, au pire de réflexions ou de consensus
professionnels autorisant une évaluation objective de la pratique
ostéopathique.
Ainsi, la démarche et le raisonnement ostéopathique
doivent s’appuyer sur des données médicales et scientifiques pour définir, sur
chaque élément d’un système dysfonctionnel :
- les paramètres physiopathologiques du
système investigué - les drapeaux rouges interdisant formellement une prise en charge
ostéopathique - la caractérisation objective ou, tout au moins évaluable par le
patient, du trouble fonctionnel - l’identification de facteurs de risque individuels susceptibles
d’expliquer l’apparition ou la récidive de ce trouble fonctionnel
De ces 2 derniers points découle un
bilan fonctionnel qui doit conditionner logiquement la stratégie de traitement
et les actes à produire ou les conseils qui peuvent être délivrés au patient
dans le respect de ses droits, en particulier pour ce qui est de la délivrance
d’une information de qualité et l’obtention de son consentement quant aux
modalités d’intervention et de prise en charge.
Tous ces éléments sont présentés ici,
mais l’utilisateur doit garder en mémoire que l’application Up’Ostéo n’est pas
un dispositif de santé, ni un outil officiel de recommandation de bonnes
pratiques. En outre, Up’Ostéo ne peut en aucun cas se substituer à la
responsabilité individuelle du praticien qui doit être capable d’analyser
chaque cas avec ses particularités.
Up’Ostéo n’est pas un dispositif
d’aide à la décision thérapeutique, mais se présente comme un outil de révision
ou de découverte d’une pratique qui se veut rationnelle et intégrable à l’offre
de soins.
Au détour de son utilisation,
plusieurs fonctionnalités seront accessibles telles que :
- la (re)découverte succincte de l’anatomie des appareils
locomoteur, viscéral et crânio-facial - la compréhension de la biomécanique fonctionnelle du corps humain
- des rappels sur les grands troubles fonctionnels de chaque système
et les modalités de prise en charge ostéopathique - des vidéos présentant les actes thérapeutiques manuels
recommandés, sur la base d’éléments observables et reproductibles - des outils permettant de générer des fiches patients et de
collecter des données cliniques dans le respect des dispositions relatives au
RGPD
L’appli Up’Ostéo est disponible en
version gratuite ou payante, certains modules étant alors accessibles après un
achat unique, éventuellement reconduit en cas de mise à jour de nouvelles
fonctionnalités. Up’Ostéo ne nécessite pas d’abonnement ni de licence
d’utilisation. De fait, l’éditeur décline toute responsabilité vis-à-vis de
l’objet, des circonstances et des modalités de son utilisation, quelle que soit
la version téléchargée.
Glossaire
L’ostéopathie est une pratique dite de
première ligne c’est pourquoi Ostéobio incite ses étudiants à acquérir certains
réflexes éthiques, comme :
- réfléchir en premier lieu à ce qu’ils peuvent faire pour les
personnes qui les consultent, - se demander si l’ostéopathie est bien indiquée, même en l’absence
de contre-indication, - envisager avec la personne qui consulte la possibilité d’une autre
pratique ou discipline thérapeutique (médicale ou paramédicale), - s’assurer du respect du droit des personnes prises en charge,
notamment la délivrance d’une information de qualité et l’obtention du
consentement de la personne quant aux modalités d’intervention et de prise en
charge.